Le boogie de John
Lee Hoocker
G.Ruiz, Marseille
Juillet 2017
73, putain
d’année
La fille que
j'aime m'a quitté
J’ai fait mon
service militaire
Sur le boogie de
John Lee Hoocker
J’ai donné ma
plus belle gratte
J’ai vendu ma
vieille « deux pattes »
Aux
décalcos « No nuclear »
Sur le boogie de
John Lee Hoocker
À mon frère et à
mes vieux
Me r’trouver
célibataire
Sur le boogie de
John Lee Hoocker
Je devais fuir
cette ville
Oublier cette
maudite fille
Oh ! J'avais
bien du malheur !
Sur le boogie de
John Lee Hoocker
Ecarter les
peurs les doutes
Plus ressasser
mes erreurs
Sur le boogie de
John Lee Hoocker
Je devais gagner
ma vie
Quitter Marseille
et les amis
Devenir un beau
vainqueur
Sur le boogie de
John Lee Hoocker
Oublié mes rêves
de gloire
Pour une vie de
dur labeur
Sur le boogie de
John Lee Hoocker
Mais ma jeunesse
avait filé
Et avec elle
j’abandonnais
Une partie de mon
pauvre cœur
Sur le boogie de
John Lee Hoocker
Ô prends pitié
Seigneur !
Délivre-moi
Seigneur !
Du boogie de John
Lee Hoocker
(Bis)
***